Benoît Hamon, nouvelle coqueluche de la gauche tendance suicide
La mauvaise foi est toujours nécessaire à quiconque veut d’un état médiocre s’élever au plus grand pouvoir Machiavel Benoît Hamon est un cas d’école. En agitant des propositions programmatiques qui oscillent entre le ridicule ou le guignolesque (revenu universel), l’irréalisme total (visa humanitaire pour les migrants), et le sociétal déconnecté du réel (le cannabis), il a réussi à devenir le nouveau chouchou de la base militante du parti socialiste et de son noyau dur électoral. Mais il a réussi aussi un autre exploit : celui de mettre d’accord pour une fois les lecteurs de Jean-Claude Michéa et les tenants d’une ligne réaliste … Lire plus